2020 What Hope? What Action?…in the Anthropocene

L'ère actuelle a été nommée Anthropocène en raison de la domination de l'activité humaine sur le climat et l'environnement. En fait, la crise climatique est arrivée à un tel passage qu'elle laisse la plupart des gens incertains quant à la marche à suivre, d'autant plus que la volonté d'arrêter le glissement vers le bas semble largement absente. Des expressions et des événements récents tels que les urgences climatiques, la grève climatique et la rébellion dépeignent la profondeur de la crise et révèlent que les conférences et les talk-shows ne sont pas une panacée pour inverser ou arrêter les tendances. De toute évidence, il faut des médicaments beaucoup plus solides.
Vers la fin septembre 2019 plus de six millions de personnes ont participé à des manifestations climatiques partout dans le monde. En Nouvelle-Zélande, par exemple, 3,5 % de la population y a participé. Une telle action de masse est un signe d'espoir.
Une jeune adolescente, Greta Thumberg, a enflammé l'imagination du monde. Des personnalités bien connues comme l'actrice Jane Fonda et le journaliste George Monbiot ont été arrêtées pour avoir protesté. Ces événements de 2019 sont-ils la tendance à suivre ?
Nos dirigeants spirituels, religieux et éthiques suivent-ils le pas ? La majorité massive de la population mondiale est spirituelle et religieuse d'une manière ou d'une autre. De toute évidence, leurs convictions peuvent être amenées à influencer les personnes en pouvoir pour inspirer l'action. Les dirigeants spirituels et religieux doivent être impliqués dans le débat s'ils doivent réaliser que la crise climatique est le défi religieux le plus important du 21e siècle.
Beaucoup conviendront que le temps presse pour nous, humains, si nous voulons empêcher la première extinction causée par l'homme. "Quel espoir ? Quelle action ?... dans l'Anthropocène" est un appel urgent aux militants sociaux et aux penseurs spirituels/laïques à se réunir pour réunir leurs esprits et leurs cœurs pour faire partie de la solution plutôt que de laisser la situation se détériorer. Que l'action soit petite ou menée à un niveau de masse, l'urgence est clairement là. La crise climatique est clairement une bombe à retardement qui coûtera la vie à des millions de personnes si elle ne s'y attaque pas immédiatement.

The present era has been named the Anthropocene due to the dominance of human activity on climate and the environment. In fact the Climate Crisis has come to such a pass that it leaves most people unclear as to the way forward, particularly since the will to halt the downward slide appears largely absent. Recent expressions and events like Climate Emergency, Climate Strike and Extinction Rebellion portray the depth of the crisis and reveal that conferences and talk shows are no panacea to reverse or halt trends. Clearly much stronger medicine is needed.
Towards the end of September 2019 more than six million people participated in climate demonstrations all over the world. In New Zealand, for example, 3.5 % of the population participated. Such mass action is a sign of hope.
A young teenager, Greta Thumberg, has ignited the imagination of the world. Well known figures like the actress Jane Fonda and the journalist George Monbiot have been arrested for protesting. Are these events of 2019 trending the way forward?
Are our spiritual, religious and ethical leaders following suit? The mass majority of the world’s population are spiritual and religious in some way or other. Clearly their convictions can be brought to bear on people in authority to inspire action. Spiritual and religious leaders need to be drawn into the debate if they have to realise that the climate crisis is the most important religious challenge of the 21st century.
Many will agree that time is running out for us humans if we are to prevent the first man-made extinction.”What Hope? What Action?… in the Anthropocene” is an urgent call to social activists and spiritual/secular thinkers to come together to put their minds and hearts together to be part of the solution rather than allow the situation to deteriorate. Whether the action is small or conducted at a mass level, the urgency is clearly there. The climate crisis is clearly a ticking time-bomb which will claim the lives of millions of people if not addressed immediately.